The Barn part à la conquête de la Flandre

The Barn, le marché couvert 100% bio, poursuit son expansion. Après avoir ouvert un point de vente à Etterbeek, et un second à Saint-Gilles, il s’apprête en effet à ouvrir un troisième magasin bruxellois à Ixelles, ainsi qu’un autre en Flandre, à Anvers.

Après un premier point de vente à Etterbeek en mai 2017, et un second à Saint-Gilles en février 2019, The Barn poursuit son expansion. L’enseigne spécialisée dans le bio et le vrac ouvrira en effet un troisième point de vente bruxellois dans la commune d’Ixelles cette fois, aux environs de la place Fernand Coq plus précisément. Mais c’est une autre succursale qui risque de faire davantage de bruit encore, puisque The Barn fera aussi un premier pas en Flandre, dans le sud d’Anvers.

C’est ce que The Barn a annoncé lui-même hier sur ses réseaux sociaux. L’occasion pour l’enseigne de lancer un appel aux candidatures. Ces deux futurs points de vente ouvriront leurs portes d’ici la fin de l’année. A terme, ce sont 40 nouveaux emplois qui devraient être créés, s’ajoutant ainsi aux 60 emplois existants.

Les deux premiers points de vente sont un succès et se définissent par plusieurs axes clés: démocratisation de l’achat bio, local, de saison et de qualité, mise en valeur et soutien des producteurs locaux, priorité donnée au vrac ou encore lieu de rencontre. Si jusque-là, en région bruxelloise, The Barn ne rencontrait pas de réelle concurrence directe partageant sa philosophie de bout en bout, on retrouve, à Anvers, un acteur similaire en la 'personne' de BE O.

Pour rappel, pour participer à une vision positive du futur, The Barn a identifié six points d’action prioritaires, six axes sur lesquels ces marchés bio bruxellois se distinguent déjà, mais sur lesquels ils souhaitent aller encore plus loin :

1. La préservation des sols en respectant un principe fondamental : nourrir le sol pour nourrir la plante et favoriser la vie microbienne
2. Une empreinte positive entre autres, le vrac, le zéro-déchet, le local et la revalorisation des déchets
3. La transparence : 400 références, 400 histoires vraies, authentiques
4. La viabilité des projets : un engagement sur la durée, y compris à travers le prépaiement des maraîchers
5. L’accessibilité géographique, mobile et économique
6. Une équipe soudée autour de l’humain et du talent