Dreambaby
- Photo-reportage : 17.000 mètres carrés dédiés à la différence
- Franchise : “Il y a toujours de la place pour l'esprit d'entreprise”
- Dossiers : Sauces chaudes, fromage, charcuterie, produits de fin d’année
Dreambaby
Dreambaby met fin à son service d'occasion. Selon la chaîne, le projet pilote, lancé en avril dernier, ne répondrait pas aux besoins du consommateur. Raison pour laquelle Colruyt Group cherche une alternative plus conviviale.
En avril dernier, Dreambaby lançait un service d'occasion. Il s'agissait d'un projet pilote à travers lequel les clients réservaient en ligne des objets d'occasion en suivant le principe du click&collect. Ils pouvaient ensuite les récupérer dans l'un des 6 magasins participants. Dreambaby a pu compter sur les années d'expertise de l'ancien NewStory, qui vendait déjà du matériel d'occasion pour bébés et enfants au sein du groupe Colruyt. Bien qu'il ait été initialement annoncé que le service d'occasion de Dreambaby serait étendu à d'autres magasins si les résultats étaient satisfaisants, Dreambaby a finalement décidé de mettre fin à ce service. « Les retours des clients démontrent que cette façon de travailler ne répond pas à leurs besoins », nous explique Silja Decock, porte-parole de Colruyt Group. « C'est pourquoi nous abandonnons la méthode de travail actuelle et verrons si nous pouvons mettre en place une alternative plus conviviale qui offre de la valeur ajoutée à nos clients. » Colruyt Group ne s’est pas exprimé sur d’éventuels nouveaux projets.
A partir d'aujourd'hui, il ne sera donc plus possible d'apporter des objets d'occasion supplémentaires. Les articles qui sont déjà disponibles au sein du service seront vendus pendant encore 6 semaines et pourront être retirés dans l'un des magasins participants jusqu'au 8 octobre. Dreambaby souligne que l'arrêt est temporaire et n'a rien à voir avec sa rentabilité. « Aujourd'hui, nous prenons simplement le temps d'imaginer et de développer un service encore meilleur car nous continuons à croire au marché de l'occasion et nous continuerons à y investir », conclut Silja Decock.
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: