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L’acquisition de Dole par Greenyard n’aura finalement pas lieu. La société a annoncé que les négociations se sont clôturées sans accord définitif.
« Bien que cette acquisition aurait marqué une étape importante pour les deux sociétés, nous sommes confiants dans le fait que Greenyard déploie la bonne stratégie dans l'optique de poursuivre la croissance et de renforcer notre position de leader mondial en fruits et légumes », a déclaré Hein Deprez, président de Greenyard, par voie de communiqué.
Dole cherchait un acquéreur depuis l’été dernier et était entré en négociation exclusive avec Greenyard. L’agence Reuters évoquait alors un prix de rachat possible autour des 2,12 milliards d’euros. Un montant surestimé juge Hein Deprez dans les colonnes de De Tijd.
« Certes, une telle opportunité ne se présente pas tous les jours, mais cela peut certainement encore se produire » a indiqué Hein Deprez à nos confrères de De Tijd. « Le propriétaire de Dole pense qu’il passera le cap des 125 ans et qu’il peut donc rester en poste 25 années supplémentaires. Physiquement, il est encore très bien, mais il n’y a pas de miracle… Nous verrons. Je ne ferme pas de portes. Il n’y a pas des milliers d’acteurs en notre secteur… ».
Quant à savoir s’il craint qu’un autre acteur profite de ce non-accord, Hein Deprez relativise. « Nous avons émergé en tant que candidat final et partenaire de négociation exclusif. Pour Dole, il est difficile de remettre le dossier de reprise sur le marché et de se tourner de nouveau vers les autres candidats. Ils voient que nous disons: c'est la ligne et nous n’irons pas plus loin ».
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