-
A la une : Self-scan, malédiction ou bénédiction ?
-
Photo-reportage : Le meilleur du Sial
-
Dossiers : Plats fromagers, desserts lactés, plats préparés, rayon ethnique, aides culinaires, baby food & care, papier-toilette
Le concept Franprix Mandarine faisait son apparition en France il y a de cela trois ans. Le mois dernier, il s’exportait en Belgique, à Ixelles. Aujourd’hui le groupe Casino se dit déjà prêt à ouvrir un second point de vente.
Le Franprix ouvert par le groupe Casino à Bruxelles accueillait ses premiers clients le mercredi 28 février dernier. Et selon Jean-Paul Mochet, directeur général de Franprix, cité dans les colonnes de nos confrères de LSA, le succès des premiers jours est tel, que l’enseigne s’apprête déjà à ouvrir un second point de vente. Le retailer serait en effet entré en phase de négociation avec de potentiels franchisés.
A ce jour, difficile de savoir s'il s'agira du même concept et quels quartiers sont étudiés. Il n'est pas impossible qu’il s’agisse d’un autre concept, celui de Franprix Noé. Selon 7sur7, le groupe aurait en effet laissé entendre que celui-ci pourrait avoir une belle place à Bruxelles. Concrètement, Franprix Noé revendique un assortiment de produits responsables. L’enseigne privilégie le bio et l’équitable, mais aussi les produits non labellisés méritant la confiance pour leur qualité ou leur origine.
Depuis notre visite en fin février, quelques nouveautés ont fait leur apparition dans le premier point de vente bruxellois. C’est le cas notamment des herbes aromatiques mises gracieusement à la disposition des consommateurs. Ceux-ci peuvent donc couper la quantité de branches de persil, de basilic ou de menthe dont ils ont besoin, sans avoir à acheter le pot. Une idée pratique qui fait partie du concept de proximité parisien Franprix Noé.
Autre nouveauté, le bar à salade connecté Picadeli, permettant au consommateur de composer sa propre salade. L’offre de salades se renouvelle au fil des saisons. Quels que soient les ingrédients choisis, le client paie ici un prix unique au kilo. Celui-ci a en outre accès aux informations nutritionnelles de chacun des ingrédients grâce à un écran connecté. S’il fait désormais partie du concept bruxellois, c’est qu’il a prouvé son efficacité en France, où il représente parfois à lui seul 10% du chiffre d’affaires du point de vente.
A la une : Self-scan, malédiction ou bénédiction ?
Photo-reportage : Le meilleur du Sial
Dossiers : Plats fromagers, desserts lactés, plats préparés, rayon ethnique, aides culinaires, baby food & care, papier-toilette
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: