- Photo-reportage : 17.000 mètres carrés dédiés à la différence
- Franchise : “Il y a toujours de la place pour l'esprit d'entreprise”
- Dossiers : Sauces chaudes, fromage, charcuterie, produits de fin d’année
Nous vous avions annoncé ici même que la date du 12 mars risquait de représenter un tournant dans le débat entourant l’avenir des titres-repas en Belgique. Tel a bien été le cas. La proposition de Rik Daems (Open Vld) prévoyant le remplacement du chèque-repas par une indemnité salariale a été rejetée par 9 voix (PS, sp.a, MR, cdH, Ecolo) contre 4 (Open Vld, CD&V et N-VA). La nature de la réforme proposée semble déjà avoir profondément changé de nature: face au rejet de leur proposition initiale, les deux sénateurs à l'origine de cette proposition de loi, Rik Daems (Open Vld) et Etienne Schouppe (CD&V) ont essayé, sans plus de succès, de convaincre la Commission de reformuler le texte permettant la généralisation obligatoire du titre-repas électronique.
Une ligne de repli beaucoup plus prudente, puisqu’elle correspond aux recommandations de l’Autorité pour la simplification administrative (ASA), et aux souhaits exprimés par la FEB et UCM. Rik Daems a annoncé qu'il relancera le débat en séance plénière dès la semaine prochaine, en l’axant à présent sur la généralisation des titres-repas électronique. La Commission du Sénat a par ailleurs reçu un avis favorable à la généralisation des titres-repas électroniques de la part du Conseil supérieur des indépendants et des PME. La majorité des sénateurs souhaite aujourd'hui analyser sans précipitation cette proposition.
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: