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Annoncée en juillet, la fusion prévue entre NielsenIQ et GfK ne pourra se faire qu'à la condition de cessions d'actifs, imposée par l'Union européenne, signale l'agence Reuters.
L'annonce, en juillet dernier, du projet de fusion entre NielsenIQ et GfK avait fait grand bruit. Les deux entreprises sont des poids lourds des données et études de marchés. NielsenIQ analyse les données de vente des produits de grande consommation dans 90 pays, le plus souvent à partir des données caisses, alors que GfK couvre, au-delà de l'alimentaire et des PGC, d'autres univers commerciaux comme la technologie et les biens d'équipement. La méthode utilisée par GfK s'appuie pour sa part sur un panel de consommateurs.
Pour se concrétiser, la fusion devait toutefois obtenir l'aval de l'Union européenne. Et pour recueillir cette autorisation, le nouvel ensemble NielsenIQ-GfK devra préalablement céder le panel de consommateurs, GfK Consumer Panels, une mesure jugée nécessaire pour éviter que le nouvel ensemble ne jouisse d'une position trop dominante.
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