Le site web d'Aveve, victime d'une cyberattaque
- Arvesta a été victime d'une cyberattaque jeudi dernier, qui a gêné une douzaine de magasins
- Entretemps, 250 magasins ont pu ouvrir
- Le site web d'Aveve n'a toujours pas repris son activité
Arvesta, le groupe auquel appartient Aveve, a été victime d'une cyberattaque hier, jeudi 28 mai. Une dizaine de magasins ont été touchés et 3 magasins ont même dû fermer pendant un certain temps. Aujourd'hui, les 250 magasins Aveve ont à nouveau pu ouvrir leurs portes sans problèmes. En revanche, le site web d'Aveve est toujours hors ligne.
Hier matin, Arvesta, le groupe propriétaire d'Aveve, a été touché par une cyberattaque de grande envergure. Une dizaine de magasins Aveve ont connu des problèmes soucis avec leur réseau numérique, ce qui a entraîné l'arrêt du fonctionnement des caisses. Trois magasins ont même dû fermer leurs portes. Il s'agit des magasins Aveve à Wilsele, Kampenhout et un en Wallonie. On ne sait pas encore très bien quelles seront les conséquences de l'attaque. "Nous sommes en train de dresser une cartographie complète de l'impact de la cyberattaque", explique Stéphanie Deleul, porte-parole d'Arvesta, à Gondola. "Heureusement, notre logiciel antivirus a bien fonctionné hier, ce qui nous a permis de détecter rapidement l'attaque et de fermer certaines parties du réseau à temps. En outre, nous avons pu résoudre tous les problèmes de réseau dans les magasins, de sorte que les 250 magasins Aveve ont pu ouvrir leurs portes ce matin sans problème".
Cela ne veut certainement pas dire que tout est sous contrôle. Par exemple, le site web d'Aveve est toujours hors ligne. "Nous avons arrêté de manière préventive certains systèmes pour éviter toute nouvelle propagation du virus. Il s'agit notamment du site web d'Aveve, mais aussi de certains sites web destinés aux agriculteurs et aux horticulteurs. En ce moment, nous sommes occupés à chercher des moyens de résoudre le problème. Nous faisons tout notre possible pour remettre les sites en ligne le plus rapidement possible, nous voulons que tout soit sûr", conclut Stéphanie Deleul.
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