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La confiserie a connu deux années un peu curieuses. Pour résumer l’évolution de la catégorie en une seule phrase, on peut retenir que la confiserie a le vent en poupe et que le chewing-gum a fortement souffert de la crise du Covid.
L’évolution amorcée depuis un certain temps s’est poursuivie pendant la crise Covid. Les comportements d’achat et de consommation ont clairement évolué. Le chewing-gum et les rafraîchisseurs d’haleine restent sous pression alors qu’en revanche, les sucreries ont progressé dans le canal des supermarchés. Comment l’expliquer ? Dans le segment refreshing, toutes les marques et tous les produits ont été mis sous pression : les consommateurs/travailleurs confinés à la maison, les contacts sociaux ont été réduits à portion congrue. D’où, comme l’explique Ellen Goddé, category manager chez Perfetti Van Melle Benelux, un besoin moindre de chewing-gum ou de rafraîchisseurs d’haleine. “Par ailleurs, la situation a très clairement bénéficié aux friandises ‘plaisir’. Dans une période difficile à vivre, les gens ont éprouvé le besoin de se faire plaisir, à eux-mêmes et à leur entourage proche.”
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