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Les mesures plus strictes adoptées pour lutter contre le variant omicron ne sont pas comprises par de nombreux commerçants, notamment dans le secteur de la mode. "Tous les magasins de prêt-à-porter du pays doivent payer pour un problème qui ne concerne à peine que trois grandes rues commerçantes".
À partir de dimanche, les achats ne seront autorisés que par deux visiteurs, et le nombre de clients dans le magasin sera limité à un par 10 mètres carrés, a décidé hier le Comité de concertation. Avec cette décision, le Codeco veut anticiper la montée en flèche du variant omicron. Les nouvelles mesures sont surtout accueillies avec grogne par les commerces de mode : pendant la période la plus chargée de l'année, les achats sont une fois de plus soumis à des contraintes, ce qui affecte également le chiffre d'affaires.
"Il est incompréhensible que tous les détaillants de mode soient une fois de plus victimes d'un problème qui ne se produit que dans trois grandes rues commerçantes", déclare Isolde Delanghe, directrice de Mode Unie. "Le shopping dans les petites villes peut se faire en toute sécurité et sans foule, nous ne voyons donc pas pourquoi des mesures supplémentaires devraient être prises. Les rues commerçantes où il y a un problème devraient plutôt se concentrer sur le contrôle de la foule. De cette façon, le nombre de clients dans la rue elle-même serait régulé, et le problème traité là où il se pose."
Pourtant, certains sont soulagés de savoir que les achats sont encore possibles. Un confinement dur ou une fermeture ont été évité. "La restriction du shopping à des bulles de deux est difficile pour le secteur du retail, mais le plus important ici est que le shopping accompagné reste possible, même avec les enfants. De la sorte, le secteur échappe au pire scénario", déclare Danny Van Assche d'UNIZO. Isolde Delanghe demande au gouvernement des mesures de soutien et appelle les consommateurs à s'habiller de manière festive pour les jours à venir. "Nous faisons peut-être la fête dans un cercle restreint, mais cela devrait nous inciter à nous habiller à la dernière mode et à profiter au maximum des fêtes qui peuvent avoir lieu."
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