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Malgré des prix à la consommation en très forte hausse, les ventes de lait et de ses produits dérivés ont bien résisté. Comment expliquer une pareille résilience… et une telle augmentation tarifaire ?
S’il est loin d’avoir été le seul dans le cas, le lait n’en a pas moins connu une hausse particulièrement spectaculaire de son prix en magasin ces douze derniers mois. Pourtant, ses ventes sont loin de s’être effondrées. Un paradoxe qui s’est logiquement traduit par une forte progression de la catégorie en termes de valeur. En l’espace d’une année, les prix du lait ont en effet bondi de 28,6 %, alors que sa consommation n’a reculé que d’un petit pourcent en volume et grimpé de 27,4 % en valeur, si l’on se réfère aux chiffres annuels de NielsenIQ (MAT P05). La Confédération Belge de l’Industrie Laitière (CBL) fait état de données légèrement différentes, mais qui vont globalement dans le même sens. “Les prix à la consommation du lait ont augmenté en moyenne de 32 % en Belgique au cours des 12 derniers mois (MAT Q2 2023 - source CPS GfK, NDLR) par rapport à la même période un an plus tôt”, confirme Lien Callewaert, directrice de la CBL. “Dans le même temps, le volume acheté par habitant n’a baissé que de 5 %, tandis que le nombre de Belges qui achètent du lait est également resté très élevé avec 96 acheteurs sur 100.”
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