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Début avril, des chauffeurs de camions bloquaient des centres de distribution alimentaire durant plusieurs jours. Pour contrer ce type de situation dans le futur, Comeos demande la reconnaissance des centres de distribution comme infrastructures critiques. C’est là l’une des 47 propositions contenue dans le livre blanc “Sécurité dans le commerce”.
Les commerçants accueillent chaque jour des millions de personnes dans leurs magasins. Pour ce faire, ils doivent assumer des responsabilités spécifiques en vue de garantir la sécurité de leurs clients et des membres du personnel. Combos a identifié 47 propositions dans son livre blanc “Sécurité dans le commerce”. Celui-ci ne se limite pas à la menace terroriste, puisqu’il passe en revue une large série de problèmes de sécurité. Comeos plaide notamment pour un meilleur échange d’informations entre commerçants et policiers, l’introduction d’une notion “d’interdiction de magasin” ou encore l’autorisation d’installer temporairement des caméras secrètes dans certaines circonstances.
Protestant contre la taxe kilométrique, quelques dizaines de chauffeurs de camions sont parvenus, au début du mois d’avril, à bloquer plusieurs centre de distribution durant plusieurs jours. Parce qu’en Belgique une vingtaine de dépôts assurent l’approvisionnement de quelque 4.000 supermarchés (soit 75% du secteur), Comeos appelle aujourd’hui à reconnaitre les centre de distribution comme infrastructures critiques. Une situation comme celle que nous avons connue alors est selon Dominique Michel, CEO de Comeos, inacceptable.
“Les pertes financières se sont élevées à des dizaines de millions d’euros et des tonnes de nourriture ont été gaspillées. Nous demandons que les centres de distribution soient reconnus comme infrastructures critiques, de sorte que leur fonctionnement, en cas de conflits mais aussi de catastrophes naturelles, puisse être garanti” explique Dominique Michel.
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