-
A la une : Self-scan, malédiction ou bénédiction ?
-
Photo-reportage : Le meilleur du Sial
-
Dossiers : Plats fromagers, desserts lactés, plats préparés, rayon ethnique, aides culinaires, baby food & care, papier-toilette
Les agriculteurs touchés par les effets du boycott décrété par la Russie pourront encore faire appel jusqu'en juin 2016 aux mesures de soutien de l'Union européenne introduites en 2014.
La Russie a décrété en août 2014 une interdiction d'importation de certains produits de pays s'étant ouvertement opposés à l'annexation de la Crimée. Une mesure qui touche, outre l'Union européenne, les Etats-Unis, le Canada, l'Australie et la Norvège. Afin de compenser la perte de ce volume d'exportation, l'Union européenne accorde depuis lors une aide financière aux agriculteurs concernés, en évitant d'aboutir à une surproduction et à un effondrement des prix.
De nombreux agriculteurs contournent toutefois le boycott, souvent en traitant avec des pays qui exportent toujours bel et bien vers la Russie, les produits y étant relabellisés afin de pouvoir atterrir dans les rayons russes.
La Fédération belge du commerce Comeos travaille d'autre part, en concertation avec l'Autorité de la concurrence, à une proposition visant à limiter la volatilité des prix. Des solutions à court et à long terme devraient être soumises vers la fin août. Un soutien des des prix devrait apporter une solution temporaire pour les secteurs des produits laitiers et de la viande porcine. Un mécanisme similaire devrait à terme entrer en vigueur en impliquant tous les maillons de la chaîne.
A la une : Self-scan, malédiction ou bénédiction ?
Photo-reportage : Le meilleur du Sial
Dossiers : Plats fromagers, desserts lactés, plats préparés, rayon ethnique, aides culinaires, baby food & care, papier-toilette
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: