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Représentant pourtant une catégorie en plein essor l’année dernière, les pizzas fraîches ont indéniablement souffert de la crise : elles reculent de -1% en valeur en dépit d'une progression de 1,2% en volume, comme en attestent les derniers chiffres de Nielsen arrêtés en février de cette année. Pourtant, du côté des marques, une stabilité des ventes se fait sentir. Tour d’horizon de la catégorie.
La catégorie des pizzas fraîches, en plein essor à la veille de la crise sanitaire, n'a pas tiré parti de celle-ci : si les volumes ont crû de 1,2%, les prix ont baissé de 2,2%, et l'évolution en valeur est dès lors négative, à -1% (Nielsen MAT février 2021). Pourtant, du côté des marques, les ventes semblent se maintenir. Dans ce contexte, qu’est ce qui pourrait expliquer cet essoufflement de la catégorie ? Cette dernière, qui détient une part de marché de 4,3 % du rayon traiteur frais, souffrait déjà en fin d’année 2020 d’une baisse de 3,3 % (par rapport à 2019). L’actuel recul de la catégorie peut donc s’expliquer par la concurrence accrue des pizzas surgelées (+ 6,4 % en valeur et + 4,5 % en volume), par la tendance à consommer à domicile depuis le début de la crise et surtout par le retrait de la gamme ‘pizzas fraîches’ de Dr.Oetker, fin 2019. Pour rappel, en 2018 le leader des pizzas surgelées avait surpris en proposant une nouvelle gamme de pizzas fraîches. Un lancement qui n’a finalement duré que près d’un an. Les raisons de la suppression de ces produits n’avaient pas été données. Le succès n’était sans doute tout simplement pas au rendez-vous.
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