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Cette catégorie des alcools et spiritueux, nous l’avons déjà étudiée en avril dernier. Et son bilan de santé n’était pas fameux. Identifie-t-on une embellie, à la veille de la saison si stratégique des fêtes de fin d’année ?
Pas pour l’instant… Et pour cause ! François Kulakowski, Category Development Manager chez Bacardi-Martini, nous confirme un facteur qui constitue tout sauf une surprise : traumatisé par l’inflation galopante, le consommateur se montre extrêmement prudent : “Il choisit lui-même les catégories où se livrer à du downtrading est acceptable, et celles où une telle baisse en gamme est exclue. Certains consommateurs peuvent même purement et simplement décider de faire l’impasse sur des familles de produits qu’ils ne jugent pas essentiels. Les opinions en la matière sont très variables d’un individu à l’autre, en fonction de facteurs financiers, culturels ou autres.” Alors que la plupart des catégories FMCG voient la part de marché des Private Labels atteindre des niveaux historiquement élevés, ce marché reste malgré tout encore un territoire de marques. “La part de marché (MAT) des PL Spiritueux et Apéritifs (à l’exception du Champagne) se situe à 20,9 points,” nous apprend encore François Kulakowski. C’est certes 0,4 points de plus qu’il y a un an à pareille époque. Mais cela reste mesuré.
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