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Les chiffres de la catégorie alimentation pour bébé sont peut-être décevants, mais ce segment foisonne malgré tout d’innovations. Les parents veulent en outre une alimentation plus réfléchie pour leurs enfants et sont à la recherche de commodité.
La catégorie bébé dans son ensemble ne se porte pas très bien depuis quelques années. Le taux de natalité en Belgique recule d'ailleurs depuis un petit temps déjà. “En moyenne sur les années, nous comptons environ 115.000 naissances par an, avec à peu près 112.000 naissances en 2020”, déclare Karlien Desmedt, CDT manager chez Infant Nutrition Belgilux (Nestlé). “À court terme, ces chiffres ont notamment été influencés par la crise du Covid-19.” Cette diminution de la natalité moyenne impacte aussi les chiffres de la catégorie alimentation pour bébé. D’après les chiffres annuels de Nielsen, qui couraient jusqu’à début octobre 2021, le segment a chuté de 1,3% en valeur et de 2,2% en volume. Les repas pour bébé surtout accusent le coup (- 7,6% en valeur et - 6,4% en volume), contrairement aux panades de fruits (+ 4,5% en valeur et + 2,9% en volume) et aux desserts (+ 4,8% en valeur et + 4,1% en volume), qui ont fait bonne figure. Selon Colruyt, le recul des repas pour bébé est essentiellement imputable à l’effet corona : “Nous observons que les parents se sentent meilleurs parents quand ils préparent eux-mêmes à manger pour leur bébé. Cette tendance a été renforcée par le fait que les gens étaient davantage chez eux, qu’ils télétravaill(ai)ent davantage et voyageaient moins.”
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