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Colruyt Group a dépassé l’objectif des 80% de recyclage de ses déchets d’entreprise qu’il s’était fixé pour l’année 2017. Le retailer annonce en effet qu’au court des six premiers mois de l’année le taux de recyclage a atteint un niveau record de 82,1%.
Au cours des six premiers mois de 2016, le taux de recyclage du groupe Colruyt a augmenté pour atteindre un niveau record de 82,1%, soit plus de deux pour cent de mieux que six mois plus tôt. Concrètement, cela signifie que pour chaque millier de kilos industriels, 821 kilos sont aujourd’hui recyclés. Cela permet à Colruyt Group de dépasser l'objectif des 80% de recyclage qu’il s’était fixé pour 2017.
« Ces meilleurs résultats de recyclage sont en grande partie à attribuer au comportement de tri à la source, c’est-à-dire nos collaborateurs dans les magasins » précise Colruyt. Au printemps, les magasins Colruyt ont uni leurs efforts pour mieux trier les déchets organiques et de pain, dans le but de minimiser le renvoi de déchets résiduels. Résultat? 700 tonnes de déchets résiduels en moins. « Nous avons mené une forte campagne d'information à ce sujet, et il est incroyable de voir comment les employés des magasins ont réagi sur le terrain. À présent, il est temps de persévérer. Nous nous chargeons d’ores et déjà de fournir des conseils de tri plus pratiques », rapporte Françoise Decoster, responsable du service de l'Environnement.
Les déchets alimentaires ont également diminué de manière significative. Depuis le printemps de cette année, 14 points de vente belge du groupe ont offert leurs denrées alimentaires invendues, mais parfaitement consommables, aux organisations locales sous la direction des Banques Alimentaires. Entre 2 et 3 tonnes de denrées, par magasin et par mois, ont pu être ainsi cédées aux Banques Alimentaires. « Cela signifie qu'il y a moins d'excédents alimentaires réacheminés vers nos centres de distribution destinés à la fermentation. En soi, cette fermentation est utile, car elle génère de l'énergie verte, mais c’est encore mieux de mettre ces excédents alimentaires au profit de la consommation humaine », souligne Françoise Decoster.
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