Don’t Call Me Jennyfer
- Photo-reportage : 17.000 mètres carrés dédiés à la différence
- Franchise : “Il y a toujours de la place pour l'esprit d'entreprise”
- Dossiers : Sauces chaudes, fromage, charcuterie, produits de fin d’année
Don’t Call Me Jennyfer
Présenté en mai dernier, le plan de continuation de Don’t Call Me Jennyfer a été accepté par la justice française, a annoncé l'enseigne de mode dans un communiqué publié jeudi.
L’enseigne française de prêt-à-porter féminin Don't Call Me Jennyfer se félicite d'être sortie de son redressement judiciaire après l’acceptation de son plan de continuation par le tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Ce plan, présenté en mai dernier, soit près d'un an après sa demande de placement en redressement, prévoit « un investissement initial de 15 millions d'euros qui doit permettre à la marque de retrouver le chemin de la rentabilité », peut-on lire dans le communiqué de la marque. Don't Call Me Jennyfer sort en outre de cette procédure avec un nouvel actionnaire : le groupe franco-chinois Sinoproud via sa société Shanghai Pure Fashion Garments. « Nous sommes très heureux d’annoncer que Jennyfer est officiellement sortie de cette phase difficile. Cette décision montre la solidité de notre projet et notre capacité à amener à nouveau l’entreprise à sa position de leader », a notamment déclaré Yann Pasco, directeur général de l’enseigne. La nouvelle équipe de direction va désormais s’atteler à transformer l'image de la marque et son offre « afin de répondre aux attentes d'une cible de clientes plus large qu'auparavant », tout en préservant « l'ADN de Jennyfer ». Au total, Don't Call me Jennyfer compte 300 magasins, dont 220 en France et une poignée dans notre pays.
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