Publi-reportage “Actito reste la solution d’activation marketing la plus adaptée”
Benoît De Nayer et Kenya Rose, les deux co-CEO’s d’Actito, présentent leurs ambitions pour la désormais célèbre plate- forme d’activation marketing. En deux ans, l’entreprise dont le siège principal est basé à Louvain-La-Neuve, a doublé de taille et opère dans des dizaines de pays grâce à six bureaux.
Actito en a fait du chemin depuis sa création en 2000. La plateforme spécialisée dans l’activation marketing opère dans de nombreux endroits du monde, notamment grâce à six implantations : le quartier général de Louvain-La-Neuve pour le Benelux, la France, les Pays-Bas, l’Angleterre, l’Espagne et enfin le Canada. Actito est une véritable success-story belge. En 2019, la société faisait l’acquisition de SmartFocus et compte aujourd’hui pas moins de 150 collaborateurs pour un chiffre d’affaires annuel de 15 millions d’euros. Pour une entreprise, les chances de vendre à un client existant sont de 60 à 70%, alors que les chances de vendre à un prospect sont de 5 à 20%. Actito a déjà aidé plus de 500 entreprises à convertir l’intention en acte d’achat, dont dans le secteur du retail Hubo, les jardine- ries Oh’Green et Truffaut, Jennyfer, Colmar ou encore Buffalo Grill.
Pourriez-vous redéfinir les services proposés par Actito ?
Benoît De Nayer : Actito développe ce qu’on appelle de l’activation marketing. Nous activons une série de mécanismes pour inciter le client à faire le dernier pas dans son achat. Nous sommes plus spécifiquement actifs dans le mid-market, autrement dit les entreprises de taille moyenne. Dans le retail, les données viennent notamment des cartes de fidélité, des achats à la caisse ou encore des achats online. Il arrive encore très souvent que les gérants d’enseignes n’utilisent pas ou peu ces données. Certains utilisent un système d’envoi de mail simple comme par exemple Mailchimp. La plus-value d’Actito est d’utiliser les données encodées pour préciser quel est le type de consommateur, à quel endroit il se rend, quels sont ses achats récurrents et à quel endroit il se trouve dans le parcours. Sur base de toutes ces données, nous activons une série de mécanismes pour l’inciter à faire le dernier pas vers l’achat. Si un client plébiscite un produit en particulier, nous pouvons lui envoyer un mail avec des propositions de produits similaires. Cela peut aussi être une communication via SMS ou une push notification via une application mobile, voire encore via le wallet, système numérique qui permet de collecter les cartes de fidélité sur le téléphone. Actito est en quelque sorte un orchestrateur.
Les clients d’Actito sont-ils accompagnés pour apprivoiser les différents services de la plateforme ?
Kenya Rose : Nous proposons un accompagnement à géométrie variable. Nous mettons à disposition des Customer Success Managers, qui se rendent dans les entreprises pour développer main dans la main les outils proposés par Actito. Il s’agit d’un accompagnement technique destiné à mieux utiliser la plate- forme : traitement des données, cible à choisir, timings pour l’envoi ou encore canal d’envoi. Cet accompagnement sur mesure représente la vraie plus-value d’Actito par rapport à d’autres solutions. Notre équipe de développeurs adapte la solution en permanence, nous apportons des nouveautés environ deux fois par mois. Signalons que nous ne développons pas des campagnes marketing en tant que telles. Dans ce cas, nous pouvons également mettre à disposition des agences certifiées Actito, qui offrent une partie ou la totalité de l’accompagnement. Cela peut être concevoir la rédaction de mail, imaginer le contenu d’une campagne ou réaliser des vidéos.
Nous activons une série de mécanismes pour inciter le client à faire le dernier pas dans son achat.
Actito est une entreprise belge, et plus généralement européenne. A l’heure où l’on parle beaucoup de local, cet ancrage européen est-il important ?
Benoît De Nayer : Absolument, je dirais même que notre côté local est un de nos atouts principaux. Nous sommes en fait la seule entreprise active dans le segment mid-market dans ce type d’activité. Depuis la mise en place du RGPD, les inquiétudes de nos clients portent souvent autour de l’utilisation et la protection des données. Il faut dire que les solutions américaines n’offrent pas les mêmes garanties en matière de protection de données, elles n’ont pas le même niveau de protection. Par ailleurs, les services clients des entreprises américaines sont souvent délocalisées et la mentalité est plutôt celle du « one size fits all », qui peut être frustrant si l’on veut personnaliser un service. Les entreprises nous sollicitent pour le côté local, l’expertise ou encore l’accompagnement.
Depuis la crise sanitaire, avez-vous senti que les enseignes retail souhaitaient se développer plus en online ?
Kenya Rose : je résumerais la crise en deux phases : en mars 2020, à l’annonce du confinement, nous avons connu une certaine stabilité dans notre activité car, pour ce qui est du retail, une bonne partie des enseignes ont dû fermer leurs portes et d’autres étaient concentrés sur des activités day to day. Cela ne leur permettait pas de développer d’autres activités. Dans une deuxième phase, de nombreuses enseignes ont senti, vu l’engouement du e-commerce, qu’il fallait absolument développer une présence sur Internet et ont décidé de mettre leur plan en action. Nous proposons une solution simple à utiliser, cela fait aussi partie de la plus-value d’Actito.
Quelles sont vos ambitions et vos objectifs pour les mois à venir ?
Benoît De Nayer : Nous réalisons un chiffre d’affaires annuel de 15 mil-lions d’euros mais nous considérons que ce marché se situe au début d’un développement à grande échelle. Vu le potentiel de croissance, nous pourrions atteindre 250 à 300 mil- lions d’euros de chiffre d’affaires d’ici quelques années. Nous aime- rions nous développer un peu plus au nord, en Allemagne, où nous estimons que le marché n’est pas encore bien desservi.
Kenya Rose : Cette année comme les autres années, nous pensons atteindre 30% en croissance organique. Nous sommes en croissance parce que les personnes actives dans le marketing savent qu’il faut mettre en place une relation avec le client. Nous permettons aux petites et moyennes entreprises de développer une solution pratique, simple et évolutive, sans forcément devoir mobiliser une armée d’informaticiens. Nous développons des outils sophistiqués et puissants sans devoir débloquer trop de moyens.