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KiK, discounter textile allemand, entend étendre son réseau. Parmi les marchés convoités, on notera la Belgique, la France, l'Italie, l'Espagne et les Etats-Unis. Une information de nos confrères de L'Echo.
Le discounter KiK (acronyme du 'Client est Roi' en allemand) compte aujourd'hui 3.255 points de vente dans 9 pays (Allemagne, Autriche, Croatie, Hongrie, Pays-Bas, Pologne, Slovaquie et République Tchèque) et entend encore en ouvrir 1.500 d'ici cinq ans. Plusieurs options sont analysées, parmi lesquelles la Belgique. Jusque là, le consommateur souhaitant faire ses emplettes chez KiK pouvait se rendre à Aix-la-Chapelle. D'ici 5 ans, il pourrait dès lors trouver son bonheur sur notre sol. D'autres opportunités sont étudiées. Elles concernent l'Espagne, l'Italie, la France et les Etats-Unis.
Notamment accusé en 2009 de sous-payer ses employés (5 euros de l'heure selon le syndicat Verdi) et de fabriquer ses vêtements chez les sous-traitants les moins chers, le discounter a connu ces derniers temps quelques difficultés sur son marché domestique. Ainsi, comme le rappelle L'Echo, le discounter a vu son chiffre d'affaires allemand reculer de 1,38 à 1,29 milliards d'euros entre 2012 et 2014 et a du y fermer 94 points de vente (sur un total de 1.356). Le groupe enregistrait toutefois une hausse de 7,1% de ses revenus, atteignant 1,7 milliard d'euros en 2014.
En 2013, KiK entamait une modernisation de sa collection, des rénovations de points de vente et lançait un webshop pour chaque marché.
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