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En clôturant 2024 sur un bilan stable, la catégorie des biscuits s’attend à une année 2025 pleine de défis, avec des répercussions de prix en raison de la hausse des matières premières. Heureusement, quelques segments sauvent la mise, dont celui des biscuits et gaufrettes fourrées, dont le volume à connu une hausse de 6,52 %.
Les exceptions à la règle sont désormais rares dans le retail. Quasi toutes les catégories connaissent en effet la même tendance de baisse de volume et la catégorie des biscuits ne faillit pas à la règle. Sur l’année écoulée (NielsenIQ, MAT P11 2024), la catégorie a gagné 2,22 % en valeur, uniquement en raison d’une hausse de prix (+3,81 %), mais elle accuse une baisse du volume de 1,53 %. Ce climat relativement morose a n’a d’ailleurs pas poussé certains ténors du secteur à s’exprimer pour ce dossier, mais certains signes ne trompent pas. “Comme pour la plupart de nos collègues biscuitiers et chocolatiers, l'année 2024 fut le signe d’un important challenge à de nombreux égards”, s’exprime Adrien Boels, sales director pour Desobry, entreprise qui produit en marque propre et pour des private labels. “Pour Desobry, cette tendance reste toutefois positive en Belgique et surtout à l'export pour nos biscuits au chocolat belge de qualité. Les private labels restent, dans le climat actuel et à l'avenir, une réponse économique de qualité pour de plus en plus de consommateurs. Desobry reste donc plus que jamais concentré sur ses objectifs de fournir, pour les retailers du monde entier, des produits chocolatés 100 % Made In Belgium à marque distributeur et Desobry.”
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