Plus Dossier Les tartinables face au défi climatique, au défi générationnel et à celui du moins sucré
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Cela va sans dire que la confiture et la pâte à tartiner au chocolat sont les deux incontournables du petit déjeuner. Mais l’un semble mieux se porter que l’autre. Là où la pâte chocolatée voit son volume accroître de 2,4 % (Nielsen IQ, MAT P05 2024), les confitures accusent une perte de 4,3 % en volume. Comment expliquer ces chiffres ? Nous avons posé la question à quelques fabricants de la catégorie. Le réchauffement climatique et la teneur en sucre auraient peut-être un rôle à jouer dans cette évolution.
A l’image de toutes les catégories FMCG, les tartinables ont vu leurs prix s’envoler cette année. Avec +5,9 % d’augmentation de prix, selon les chiffres de NielsenIQ MAT P05 2024, les tartinables ne résistent plus aussi bien à l’inflation : cette évolution s’accompagne d’une perte en volume de 0,6 %, tous types de produits confondus. Les pâtes chocolatées semblent mieux s’en sortir que le reste de la catégorie. Elles enregistrent une croissance positive de 2,4 % en volume et une hausse de prix moins importante que la tendance générale (+4,1 %). Du côté des confitures, le bilan est bien plus négatif. Une chute de 4,3 % en volume sanctionne un bond de 11 % des prix !
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