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Toute cette semaine, les agriculteurs belges (entre autres) prévoient de manifester leur colère longtemps contenue au travers de toute une série d’actions. Que réclament-ils ? Comment en est-on arrivé là ? Et surtout, comment sortir de cette situation ?
Après une première journée de forte mobilisation lundi, la grogne du monde agricole ne faiblissait pas ce mardi. De nombreux axes et points névralgiques du réseau routier belge ont à nouveau été l’objet de blocages et de perturbations depuis tôt ce matin. C’est notamment le cas de l’autoroute E42, fermée par des agriculteurs et leurs tracteurs à hauteur de l’échangeur de Daussoulx. Idem en ce qui concerne l’E19 à hauteur de l’échangeur de Haut-Ittre en direction de Hal et de Bruxelles. Comme la veille, un barrage filtrant a également été mis en place à Hal, au bout de l’autoroute A8/E429. En Flandre, le ring d’Anvers a été totalement bloqué à hauteur du Sportpaleis en direction de Gand, tandis que de nombreux embouteillages se sont formés autour de la cité portuaire. Les agriculteurs prévoyaient également de bloquer l’accès au port de Zeebrugge au trafic de marchandises à partir de 13h30. Enfin, il n’était également pas exclu que des centres de distributions des grandes enseignes de supermarchés fassent aussi l’objet de blocages, comme ce fût déjà le cas lundi pour le centre Dassenveld de Colruyt Group, ainsi que deux centres d’Aldi, à Turnhout et à Vaux-sur-Sûre.
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