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En tant que formateur fédéral, Bart De Wever propose dans sa supernote de supprimer les éco-chèques, au profit d’un renforcement de la valeur des chèques-repas.
Ce n’est pas la première fois que le système des éco-chèques, cet avantage octroyé par l’employeur en échange d’un achat "durable", est remis en question. Comme de nombreux partis avant les dernières élections, c’est au tour de Bart De Wever, cité par le quotidien "Het laatste nieuws", de dénoncer cette forme d’avantage extra-légal. L’actuel formateur, dans ses "supernotes", aurait en effet proposé de supprimer cet avantage extra-légal. La raison ? Il bénéficierait surtout aux grandes chaines de magasin de s’offrir un greenwashing avec la vente d'articles durables. De manière plus concrète, l'éco-chèque ajouterait une touche complexité au système global d'avantage extra-légal. Pour compenser la suppression de l'éco-chèque, Bart De Wever proposerait ainsi d’augmenter la valeur du chèque-repas. Si suppression il y a, les différentes parties (gouvernement en place, syndicats, etc.) devraient ainsi se mettre d’accord sur un système d’augmentation, soit par indexation, soit en un coup. A noter qu’aujourd’hui, environ 2,3 millions de travailleurs belges reçoivent des éco-chèques, pour un maximum de 250 euros par an s’ils travaillent à temps plein.
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