Publi-reportage L’achat de produits, avant tout synonyme de collaboration

Bio-Planet inspire le consommateur désireux de faire ses courses de manière responsable. Pour ce faire, l’enseigne de Colruyt Group propose près de 6.000 références de produits food et non-food. Withney Polfliet, acheteuse, joue un rôle crucial à bien des égards pour fournir aux magasins cet assortiment de qualité au sein d’un marché qui s’adresse de plus en plus au grand public. Dans le cadre de sa mission, elle part à la recherche de produits biologiques et durables, tant en Belgique qu’à l’étranger, afin de les rendre plus accessibles au plus grand nombre.

Withney : Work hard, play hard est une devise qui me correspond bien. Je profite de la vie, tout en travaillant dur. Mais ne vous méprenez pas : je travaille pour vivre, et non le con- traire. Mon rôle d’acheteuse me le permet totalement.

Construire une relation de confiance

Lorsque l’on pense au travail d’acheteur, la négociation est la première chose qui vient à l’esprit. Bien sûr, il est important de proposer à nos clients des produits à un prix correct, mais ce n’est qu’un seul des nombreux aspects de mon travail. L’essentiel consiste à établir une bonne collaboration. En tant qu’acheteur, la collaboration commence en interne, avec les collègues du marketing, de la gestion des stocks, des ventes, des prévisions et de la gestion qualité. Tous ont des besoins différents qui influent sur mon travail. Les données qu’ils me fournissent m’aident aussi à engager le dialogue avec les fournisseurs. J’aime beaucoup apprendre à connaître ces fournisseurs, ou plutôt « ces responsables de produit », en particulier les petites entreprises dont les gérants restent très proches de leur produit. C’est de cette manière que nous tissons des liens commerciaux au sein desquels nous, distributeur et fournisseur, savons comment l’autre fonctionne. Bien souvent, ces trajectoires communes mènent à des accords satisfaisants et à une relation de confiance durable. Évidemment, la crise sanitaire rend les voyages et les rendez-vous physiques plus compliqués, mais je reste positive. Mes fournisseurs et moi-même avons vraiment hâte de pouvoir nous rencontrer dans leurs usines, par exemple celles dédiées à la fabrication de pâtes en Italie.

Observatrice, éclaireuse, acheteuse

J’apprends énormément lors de mes visites d’entreprises. Par exemple, je peux tout de suite voir quelles sont les conditions d’hygiène et de travail sur les sites de production, si des solutions durables, comme des panneaux solaires, sont utilisées, etc. Nos clients et nous-mêmes partageons une vision claire de l’entrepreneuriat responsable et durable. Le respect envers les collaborateurs, l’environnement et le climat constitue donc pour nous un critère essentiel. Bien sûr, trouver le bon fournisseur ne se résume pas à observer ses pratiques. Je travaille par exemple systématiquement avec des questionnaires afin de contrôler les exigences en matière de qualité, allant de l’absence de conservateurs aux labels sans gluten et sans lactose, en passant par la quantité de plastique utilisée dans les emballages. Je joue volontiers ce rôle d’éclaireuse au profit de nos clients et consommateurs responsables.

Aider les start-up à grandir grâce à l’innovation de produit

Le genre de produits que recherchent nos clients de Bio-Planet nous amène donc régulièrement auprès de petits producteurs locaux. Bien sou- vent, nous tissons ensemble un lien commercial particulier. Grâce à leur structure réduite, ils sont en mesure de s’adapter rapidement aux besoins spécifiques de nos clients et, avec leur aide, de développer de nouveaux produits. Tout le monde y gagne. J’aide les start-up à grandir et Bio-Planet a la possibilité d’élargir son offre, pour le plus grand bonheur de nos clients. Je tire le plus de satisfaction de cette collaboration avec des start-up belges. De cette manière, mon travail a une influence et je crée une valeur ajoutée. Dans ces moments-là, j’ai l’impression d’être une entrepreneuse au sein de l’entreprise, même en tant qu’employée. Vous voyez, j’utilise de nouveau le mot « collaboration ». Il est vraiment au cœur de mon travail.