- Photo-reportage : 17.000 mètres carrés dédiés à la différence
- Franchise : “Il y a toujours de la place pour l'esprit d'entreprise”
- Dossiers : Sauces chaudes, fromage, charcuterie, produits de fin d’année
En 2018, Alibaba débarquait à Liège avec dans sa valise de grandes promesses, mais cinq ans plus tard, celles-ci ne semblent pas tenues. Ce sont surtout des produits de contrefaçon qui entrent dans notre pays, tandis que les douanes peuvent à peine contrôler le flux de colis en provenance de Chine. C'est ce qui ressort d'un rapport cinglant de l'expert de la Chine Jonathan Holslag (VUB). "Les commerçants chinois sont très habiles pour échapper aux contrôles", dit-il.
Tout semblait prometteur, lorsque le géant du web marchand Alibaba avait annoncé en 2016 son arrivée à Liège, pour exporter des produits vers et à travers notre pays. En 2018, Cainao, la branche logistique d'Alibaba,ouvrit un centre à l'aéroport. Deux ans plus tard, Alibaba a ajouté un entrepôt de 30 000 mètres carrés. Les politiciens belges étaient dès le départ aux anges : l'arrivée d'Alibaba créerait des emplois et, en même temps, une passerelle vers la Chine pour les PME belges. Toutes ces promesses n'ont pas abouti, ou si peu, selon l'expert de la Chine et professeur de politique internationale Jonathan Holslag (VUB) dans un rapport cinglant dans lequel il tente, avec ses collaborateurs, d'évaluer l'impact de la Chine sur l'économie belge. Les 900 emplois directs et 3.000 emplois indirects attendus ne se sont pas matérialisés. En réalité, seuls 250 emplois se sont concrétisés.
Cela ne vous prendra que quelques petites minutes et vous pourrez ensuite:
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: