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Si peu de catégories de produits se sont montrées insensibles à la crise sanitaire, rares sont celles qui auront été impactées de manière aussi variable en leur sein même que le ‘personal care’. Que ce soit au plus fort de la pandémie ou lors du retour progressif à la normale.
Pour certaines catégories de produits, l’impact de la crise sanitaire n’a pas été très difficile à identifier. Prenons les pâtes par exemple : la crise a dopé les ventes en 2020, avant que celles-ci ne rentrent progressivement dans le rang l’année suivante, marquant ainsi un retour vers une forme de normalité. Pour les produits ‘bien-être’, ‘hygiène corporelle’, ‘soins du corps’, ‘cosmétiques’, etc. réunis sous le terme ‘personal care’, l’évolution s’est révélée bien moins monolithique. “Certaines catégories du ‘personal care’ ont souffert plus que d’autres”, confirme Gilles Jourquin, CEO de la pharmacie en ligne Newpharma. “Des catégories comme le maquillage (voir encadré 2), les produits capillaires ou d’entretien corporel (déodorants, crèmes hydratantes, épilatoires…) ont vu leurs ventes diminuer de 10, voire 15%, alors que les produits orientés vers les soins du visage, comme les anti-rides, se sont relativement bien maintenus, idem pour les savons ou les dentifrices.”
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