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Selon le Syndicat Neutre pour Indépendants (SNI), "les commerces d'alimentation et l'horeca ne sont pas du tout prêts pour les chèques-repas électroniques". Le SNI, partisan d'une suppression totale des chèques-repas (compensée par une indemnité repas nette sur la fiche de paie), estime que beaucoup de commerces seront lésés. Le SNI se base ici sur les chiffres de Worldline.
Selon les données fournies par Worldline, 70% des commerces d'alimentation disposent aujourd'hui d'un terminal et pourront dès lors accepter les chèques-repas électroniques. Dans l'horeca, cette proportion s'élève à 55% des restaurants et 24% des snacks et sandwicheries. "Maintenant que le gouvernement fédéral a décidé que les chèques-repas électroniques seront généralisés dès le 1er octobre 2015, 30 pourcent des commerces d’alimentation, 45 pourcent des restaurants et 76 pourcents des snacks et sandwicheries seront lésés", soutient le SNI.
Le Syndicat Neutre pour Indépendant se dit convaincu que la meilleure solution reste la suppression totale des chèques-repas. « Les seules parties qui tirent profit des chèques-repas papiers ou électroniques, sont les quatre fournisseurs. Pour les travailleurs, employeurs et commerçants, ces chèques signifient des coûts supplémentaires et surtout un casse-tête administratif », ajoute la présidente du SNI, Christine Mattheeuws.
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