iStock
- Photo-reportage : 17.000 mètres carrés dédiés à la différence
- Franchise : “Il y a toujours de la place pour l'esprit d'entreprise”
- Dossiers : Sauces chaudes, fromage, charcuterie, produits de fin d’année
iStock
Après avoir figuré parmi les grands bénéficiaires de la crise covid, la catégorie des épices doit aujourd’hui composer avec le retour à la normale et des coûts en forte hausse. Mais si la pression est belle et bien là, les perspectives positives le sont également.
Confiné à domicile, privé de voyages et sevré de restaurants, le consommateur belge a bien dû se faire une raison face aux mesures sanitaires et se (re)mettre à davantage cuisiner. Présentes dans la plupart des plats un tant soit peu élaborés, les épices ont logiquement bénéficié de la situation en 2020 et 2021, avant de devoir encaisser le contrecoup du retour à la normale en 2022. “La catégorie des épices est en recul si l’on se réfère aux deux dernières années”, confirme Emilie Corbillé, brand & category manager BeLux chez McCormick, propriétaire notamment de la marque Ducros. “Cependant, la catégorie demeure en forte croissance par rapport à la période ‘pré-covid’ qui fait désormais office de référence pour évaluer la santé du marché”, assure-t-elle.
Cela ne vous prendra que quelques petites minutes et vous pourrez ensuite:
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: